Opposants : les défenseurs de la vertu et d’une certaine morale. Favorables : les pragmatiques. On ne peut empêcher les gens de parier. Permettons leur de parier hors des hippodromes. L’élevage et l’État percevront des recettes supplémentaires qui leur échappent jusqu’alors. Pour ce faire, il suffit de supprimer six mots « sur leurs champs de courses exclusivement » figurant dans l’article 5 de la loi du autorisant le pari mutuel. Cette suppression est votée par la Chambre des députés le . Ainsi la loi de finances du (article 186) permet l’extension du pari mutuel hors des hippodromes. La conception du pari mutuel urbain est reconnue officiellement par un décret publié le . Les sociétés organisatrices de courses, tout en gardant la haute direction, décident de confier l’organisation matérielle du pari mutuel urbain à une gérance réunissant des spécialistes (trois représentants de la Société Oller et André Carrus du Pari mutuel Chauvin) dont elles utilisent déjà les services sur les hippodromes.